Focus sur (Provence- Alpes- Côte d'Azur)- Jean-Louis Guilhamat

Publié le par lagrandestef

Biographie de Jean-Louis Guilhamat:

JLGuilhamat.jpgNourri dès son enfance des livres d'auteurs précurseurs du roman policier contemporain, Poe, Conan-Doyle, Leblanc, Christie, Leroux, Curwood, Verne... et des récits passionnés d'un père alpiniste, Jean-Louis Guilhamat grandit avec deux amours : l'énigme policière et la montagne. Devenu romancier de fiction, on retrouve dans ses livres le besoin de mêler ces deux disciplines.
En 1986, il crée le personnage de Clovis Allard, dé-tective privé, homme souvent redouté, au charisme tranquille,  pilier des onze ouvrages de la collection populaire Policier-Montagne. D’abord reçu chez trois éditeurs, il décide de voler de ses propres ailes en 1997 en créant les éditions Les Ruisselets dont la vocation est essentiellement la vente par correspon-dance.

« J’ai une formation scientifique. Paradoxalement, écrire des romans de fiction, démarche essentiellement littéraire, m'a toujours été une exigence. Donner vie à une idée c’est ouvrir un monde, un défi à mon imagination au regard de deux objectifs que je me fixe au seuil de chaque ouvrage : scénario à suspens, scènes fortes dans lesquelles mon détective privé rencontre énigme, amour et risque mortel, avec la montagne en toile de fond. Passionnante est la tâche de façonner dans sa tête des aventures moins banales
que la vie quotidienne. Un peu aisée, il est vrai : à faire vivre, mourir, gagner, souffrir, rire, aimer, assis devant son clavier, on ne court jamais que le risque d'ankylose ! »

Retrouvez le sur son site web

Bibliographie

11 romans policiers dont l’action se déroule en Provence des montagnes :

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 L’homme qui marchait au fond du lac

Une riche implantation hôtelière au milieu de nulle part, un lac de montagne dont les eaux aux reflets rouges cachent un terrible secret, une jeune femme qui assure n'avoir que vingt ans alors que tout démontre qu'elle en a deux mille, qui lance du regard un appel au secours semblant provenir d’un monde inhumain. Telles sont les pièces du puzzle que le détective Clovis Allard doit assembler, confusément averti que l’image reconstituée représente un piège mortel.


Qui j’ai osé tuer

Clovis Allard, détective privé, se voit contraint de tuer un homme de sang-froid. Viser posément un être humain à la tête avec une arme à feu et presser délibérément la queue de détente, il ne l'a jamais fait, n'aurait jamais cru devoir le faire. En soi, l’affaire, certes traumatisante, lui serait facilement réalisable, l’ennui c’est que l'homme à abattre n’est autre que son meilleur ami.


Clovis et la sainte

À l’Alpe-Dieu, petit village de la Provence des montagnes, les religieuses de la confession Sainte-Victoire vivent paisiblement leur sacerdoce sous l’autorité de mère Élise, sans que leur grand secret ne transpire jamais.
Survient un certain Clovis Allard, détective privé, et tout change. La frêle communauté s'ébroue, tressaille. Derrière la vitre de sa châsse, sainte Victoire, morte depuis un siècle, se met à trembler de peur.


Le mélèze rouge

Phil vient de mourir de mort violente. On conclut : accident. Clovis Allard doute. Phil avait trouvé de l'or... Beaucoup d'or.

Le décor : un village de montagne accroché sur l'horizon de son domaine pastoral. Dans le décor : un homme aux façons douteuses vêtu d’un long manteau, un géologue amateur naïf et débonnaire, une jeune bergère qui porte au fond des yeux une lumière noire


La pierre d’Apocalypse

L’amitié de Clovis Allard, détective privé, pour Georges Lefort, scientifique de haut vol, est indéfectible. Forcément, lorsque Georges Lefort est assassiné, Clovis s’en mêle. Il se trouve confronté à une affaire explosive : cent vingt kilos d’or engloutis sous cinq millions de mètres cubes d’eau, retenus par un ouvrage en béton ; une clé en pierre commandant la destruction de l’ouvrage ; trois hommes détenant la clé.

Une affaire explosive qui, de fait, explose.

 


L’affaire Montegnat

Saint-Amand de Beauvoir, Provence du Verdon: neuf cents âmes au soleil. Un gentil coin de montagne où des gens sans malice vivent à pas tranquilles.
Hélas ! par un beau mois de mai, Célestin Montegnat, maire de Saint-Amand, trois fois reconduit à sa charge, meurt assassiné. La gent saintamandine s'en émeut fortement. On parle d'un mystérieux rayon vert, d'une bague qui serait la plus chère du monde, d'un homme sinistre portant un doigtier noir, d'une belle dame enfermée dans le donjon de la haute couture.

Ce même mois de mai, un certain Clovis Allard, détective privé, s'arrête à Saint-Amand.



Noël à Chanteloup

Alison Turner habite de hautes solitudes, celles de la forêt, de la neige... et de ses souvenirs. Autant qu'une jolie femme, c'est une énigme. Elle inquiète ceux d’en bas. Par chez elle, la nuit venue, on aperçoit des lueurs étranges et on entend de trop sinistres hurlements pour que Clovis Allard n’y tende pas l’oreille.

 


La faiseuse de pluie


L’affaire : Il pleut depuis dix jours sans discontinuer sur l’agglomération de L'Alpe-Dieu. Le torrent de La Grave est sorti de son lit, il menace d'inonder le village, pis : de le rayer de la carte. La fautive serait une certaine Marie Laroche, artiste peintre de renom, dite au pays : « la faiseuse de pluie ».
On en appelle au détective Clovis Allard, stupéfait de s’entendre demander de rappliquer dare-dare... pour arrêter la pluie.


Le piège de Sylvestre

Dépêché par les plus hautes instances gouvernementales, Clovis Allard se voit confier l’enquête sur le meurtre du prince Boris de Ktandt. En réalité, l’assassinat de cet homme, qui n’était autre qu’un despote de la plus belle eau, le préoccupe peu. En lui une pensée prédomine : il n’a que quelques heures pour sauver la France.


Les peupliers meurent aussi (à paraître courant février 2010)


Clovis, détective privé, s’ennuie. Il rêve d’aventures fortes, sinon nobles, alors qu’on ne lui propose que des affaires pour débutants. Un bon catalyseur pour le décider à prendre quelques jours de vacances dans son village natal de L’alpe-Dieu en Val-de-Grave.

Or, sitôt arrivé, il découvre qu’une sournoise langue de bois mine le quotidien des autochtones. Bavardant avec l’un et l’autre, il n’y attache d’abord que peu d’importance, jusqu’à ce qu’un premier cadavre survienne sur son chemin.


Les aventures de Clovis Allard (hors série)

Sept romans policiers du même auteur dont l’action se déroule dans les massifs montagneux et villages de Haute-Provence.
Au fil des enquêtes d’un détective au charisme tranquille, parfois redouté : la découverte d’un gisement d’or et les convoitises criminelles qui en découlent, l’assassinat d’un prince slave sur le sol provençal, l’étrange pouvoir des yeux d’une harde de loups, les eaux de jouvence perfides d’un lac de montagne, les secrets profanes d’une communauté religieuse, une enquête à rebondissements sur le meurtre d’un maire de village, l’incroyable histoire d’une jeune femme capable de commander au ciel la pluie ou le beau temps.

 

Le mélèze rouge
Le piège de Sylvestre
Noël à Chanteloup
L’homme qui marchait au fond du lac
Clovis et la sainte
Le meurtre de Célestin Montegnat
La faiseuse de pluie

Attention : ce livre, qui réunit sept romans parus séparément dans la collection romans-montagne est imprimé en caractères 9 (caractères de la presse écrite).



2 Romans autobiographiques

Guilhamatsentiers.jpgLes sentiers flamboyants


Les sentiers flamboyants retrace les parcours aventureux  de deux jeunes Provençaux des collines à mistral.

 « En 1951, nous n’avions ni radio, ni télévision, ni téléphone, ni voiture… Notre sono était nos chansons et le craquettement des cigales.
 Nous étions deux. Deux gosses libres, espiègles, invincibles, qui n’avions pas encore attrapé deux chiffres au compteur de notre âge, livrés à une nature suffisamment riche pour stimuler notre imaginaire.
Autant dire que nous avions tout.
En ce temps-là, nos aventures étaient mille, et nous étions heureux. »





Guilhamat-voyage.jpg-Le plus grand voyage de ma vie

J'espère ne pas avoir la malchance de mourir un jour.
Mais si cela devait m'arriver,
je n'aurais à me plaindre que de ne pas avoir vécu plus longtemps.
Je dédie cet ouvrage à tous ceux que la vie émerveille.

«Le plus grand voyage de ma vie a été le voyage qui m'a conduit, à l'âge de neuf ans, de La Provençale, notre propriété familiale de la banlieue marseillaise, à l'époque où le mot «banlieue» n'était pas synonyme de «zone», mais de campagne tranquille, au village de La Louvesc, perché sur le toit du département de l'Ardèche. Après, je n'ai plus fait que des voyages qui, si grands aient-ils été, m’ont semblé très petits. La Réunion, les Amériques, l'Océanie... »
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